Test :
IParadise : Life Zone
IParadise : Life Zone
Par Saheyus
Interactive Paradise :
Life Zone
Je vais donc m'essayer à IP, premier du nom (le second étant déjà en programmation), jeu découpé sous forme de chapitre et se voulant placé sous le signe de l'humour. Place, donc, au test du projet de Link128.
Scénario : Le scénario débute assez étrangement. Vous êtes Gabriel et vous disputez avec un ami, Carl, au sujet de la place où il vous demande de vous tenir. Vous allez ensuite, sans jamais apprendre pourquoi dans la suite du jeu, vous retrouvez dans un univers étrange où se trouve un cristal qui, à son tour, vous enverra on ne sait où, quelque part où vous trouverez Jonathan, un ami, arrivé on ne sait comment… Enfin, dans les premiers chapitre, on ne fait qu’avancer, en changeant de monde régulièrement, sans rien savoir de quoi que ce soit. Ca s’améliorera par la suite vers le moment où YF06 rejoindra l’équipe puis, plus particulièrement, vers la fin. Cela dit, ça reste assez secondaire et un peu sans queue ni tête par moments.
2/5
Mise en scène : Il n’y en a pas vraiment. Vous aurez droit à des images (fixes), à quelques animations sympathiques, à une gestion correct des bruitages, si l’on veut chercher dans les détails. Mais à part ça, la mise en scène est absente ou du moins ne saurait pas se faire sentir parmi les innombrables combats qui, eux-mêmes, ne disposent pas de mise en scène. On pourrait mettre les insultes dans la mise en scène. Les mots grossiers, parfois, servent à rendre une fiction sur notre monde plus crédible mais là… ils sont trop fréquents. Ca peut paraître incroyable mais il m’arrive de passer une journée entière sans entendre d’invective. Au contraire, dans Interactive Paradise, vous en lirez toutes les 5 minutes.
2/5
Les personnages : Il y a les 4 héros, tous amis, Carl, Gabriel, Jonathan et YF06. Le premier est un parfait imbécile. Il est amusant grâce à cela… et parfois agaçant aussi. On notera en revanche que c’est le seul des héros qui sorte un peu du lot par sa façon d’agir. Un peu lâche sur les bords, stupide mais pas méchant, il met un peu de relief dans le jeu. Le second est le premier des héros que vous manipulerez. C’est peut-être aussi le plus présent, notamment avec sa capacité (inexpliquée) à voir l’avenir. Il n’a pas de traits de caractère particulier, cependant, et c’est ce qu’on peut regretter. Jonathan est, au contraire, peut-être celui qui apparaît le moins durant le jeu. YF06, ensuite (chef de mon groupe de juré que je salue au passage, lol), n’est pas mal géré. Mais, encore une fois, dur de lui définir un caractère. Vient ensuite, au chapitre 9, Germain, alias « ? ? ? ». C’est un homme rencontré dans le futur. Ah, j’y pense, toutes les personnes citées ci-dessus à part la première sont gentils (rendant service à tout le monde) et courageux (n’hésitant pas à sauver leur monde). C’est assez dommage, car, au final, on s’attache un peu à eux et l’on se dit que s’ils étaient très structurés, ce ne serait sans doute pas si mal.
En outre des personnages jouables, il y a une grande quantité de personnages secondaires. Les premiers sont des villageois pathétiques et inintéressant mais ça évolue assez au cours du jeu. A partir du chapitre 5, ils seront un peu moins classiques, un peu plus intéressants, notamment grâce à la possibilité de voir le futur. Viennent ensuite, à partir du chapitre 10, une tripotée de makers divers et variés, qu’ils passent pour boulets ou non. Ils donnent l’occasion de quelques scènes et dialogues intéressants. Aussi, la façon dont c’est mené rajoute aux couleurs, au délire.
3/5
Gameplay : Durant les 4 premiers chapitres, ce ne sera qu’une terrible suite de combats. Vous tapoterez enter ou finirez par choisir le mode automatique (ce que j’ai moi-même fait, pour la seconde fois seulement dans un jeu). Pour les boss, il en est de même… de toutes façons, vous devriez les tuer avant qu’ils ne puissent attaquer, fusse même celui de la fin, grâce à vos dragon swords, triple-attaque, 300 dégâts. Cela mis de côté, il y a un gameplay assez riche dans Life Zone. Vous aurez droit à des phases d’A-RPG, à une partie à la Castlevania, à une partie à deux héros séparément (pour le déplacement), à une partie à deux héros simultanément (déplacement toujours, sous forme de « puzzles ») etc… On regrettera la linéarité des maps d’A-RPG, l’absence de saut dans la phase Castlevania, le peu de temps que dure le déplacement à deux simultané (le temps d’activer deux interrupteurs et de suivre un couloir) et l’aspect répétitif des maps puzzle. Il y a de l’idée, de la variété, une bonne intégration de ces phases mais elles ne semblent pas à la hauteur de ce qu’elles pourraient valoir.
3/5
Musiques : Un des bons points du jeu, je pense. Elles collent (en général) à la situation et sont assez variés même si peut-être connues de vous puisque venant de FF6, de DQ, de Zelda et d’autres titres… d’assez bonne réputation. Cela permet d’ailleurs d’avoir une bande sonore de très grande qualité. Vous aurez d’ailleurs l’occasion de passer votre temps à l’écouter durant les passages un peu longs du début du jeu. En revanche, pas de musiques originales si l’on ne compte pas un séances de chants dans le métro. De même, l’utilisation des bruitages aurait put être affinée car elle est encore très discrète.
3/5
Graphismes : Si certaines maps (chez YF06 ou la mappemonde du futur par exemple) sont assez belles, elles sont rare. Le reste est vide ou répétitif (sans parler des RTP du début). Le mapping est donc inégale voir bâclé. Sinon, les charsets sont plutôt pas mal pour la plupart et les monstres, rippés le plus souvent, ne viennent pas de n’importe quels titres. Mais cela ne rattrape pas vraiment la chose.
2/5
Programmation : Bien que les systèmes de jeu soient divers et variés, je n’ai remarqué aucun custom (que ce soit des menus, des dialogues, des combats ou autres). On note cependant quelques évènements assez sympathiques. Aussi, je n’ai pas relevé de bugs autres que graphiques, si ce n’est lors du combat contre le robot. En effet, après avoir tiré je-ne-sais-plus-combien-de-coups, le robot s’obstinait à survivre. Ce n’est qu’en sauvegardant et en chargeant à nouveau le jeu que, miracle, il est mort avant que je n’ai eu le temps de le voir.
4/5
Originalité : Sans doute le point fort de ce jeu à mon avis. Je l’ai déjà dit, le gameplay est très varié, proposant une nouvelle tous les un ou deux chapitres. Les chapitres proposent d’ailleurs une forme assez originale pour le jeu puisqu’ils sont bien plus courts que ceux que l’on peut avoir l’habitude de croiser. Aussi, le côté délirant du jeu, l’apparition de makers, l’utilisation de notre monde etc. sont des petits plus (de plus en plus courants mais pas dans un même jeu). Enfin, bref, c’est un projet original par la forme et le fond.
Je trouve juste dommage qu’IP ne se soit pas avéré une véritable parodie des Final comme l’aurait laissé supposé le titre de son premier chapitre… mais d’ailleurs, quand on le voit, ce chapitre, on se dit que ce n’est pas plus mal ’
4/5
Humour : IP étant clairement un projet délirant, il devrait disposer d’un humour intéressant… mais on sourit juste, malheureusement. L’humour est assez présent, tout au long de la partie, mais je ne l’ai pas trouvé vraiment particulier. Certains gags sont assez moyens : le chant dans le métro, par exemple, vous l’écouterez une fois, deux fois, trois fois… et vous couperez le son pour éviter les sept suivantes. En outre, les insultes gâtent un peu l’humour. Il y a cependant des passages réellement amusants même s’ils auraient put facilement l’être davantage. A titre d’exemple, comme vous passerez plus d’une demi-heure à vouloir répondre correctement durant le jugement, apprendre qu’il faut faire l’imbécile en vérifiant ça avec RPG maker, ça dérange un peu. Il aurait pourtant suffit qu’on signale quelque part que : « C’est le but puisque les preuves sont bien là alors autant tenter de plaider la stupidité de Carl. »
3/5
Mini-jeux: Au niveau des mini-jeux, l'auteur lui-même n'a mis que deux boss, celui de fin et le robot. Le premier consiste juste à se frayer un chemin à travers un passage avec deux piques puis à taper le boss. Ca aurait put être bien mieux, si le plafond s'écroulait, si des monstres arrivaient, si le boss attaquait, si... mais non, c'est terriblement plat. Quand au second mini jeu, le bug dont j'ai parlé m'a un peu gaché la chose mais j'en reconnais l'originalité. Domamge qu'il n'y ai pas, une fois encore, des évènements plus variés. Autrement dit, un gros potentiel à ces mini-jeux, un potentiel mal exploité, aussi.
2/5
Meilleur système d’A-RPG : Le système d’A-RPG à l’épée est très simple, on ne dispose de presque aucun objet, on se dit qu’un CMS n’aurait peut-être pas été de refus. Cela dit, cette séquence ne s’avère pas désagréable et se joue assez bien. Pour le système à la Castlevania, disposer de plusieurs armes, pouvoir sauter et d’autres fonctions du même auraient put faire joli. Autrement dit, ce n’est pas spécialement fouillé mais bien fichu quand même. Cela, c’est compréhensible, puisque ce ne sont que des systèmes secondaires.
3/5
Au final : Au final, c’est un jeu assez bancale qu’Interative Paradise. Le mapping est irrégulier, le scénario souvent oublié, l’humour perfectible… il y a toujours de bons points, dans chacune des catégories mais il ne se maintient pas. Par ailleurs, on se demande pourquoi l’auteur du jeu a conservé les premiers chapitres (créés avant que le jeu ne soit repris si je ne m’abuse). Ils ne sont pas à la hauteur du reste et, notés seuls, friseraient peut-être la note la plus basse. Mais cela montre cependant que Link128 s’est assez largement amélioré d’un bout à l’autre de son jeu. Je dirais qu’en définitive, c’est surtout l’originalité d’IP et sa diversité qui l’empêche de passer du côté obscur des notes (en dessous de la moyenne d’addition de toutes les notes).
Je crois cependant qu’un peu d’application dans les points cités ci-dessus pourrait permettre à Interactive Paradise d’être plus qu’un « jeu distrayant » grâce à ses qualités déjà présente. D’ailleurs, je ne saurai que trop conseillé à l’auteur de voir s’il ne veut pas reprendre ce projet et l’améliorer (notamment refaire entièrement le début) plutôt que de se lancer dans un nombre incalculable de suite (j’ai entendu parler de sept épisodes ou quelque chose dans ces eaux là). Il pourra d’ailleurs le faire en se basant sur ce test et les autres tests qu’il recevra grâce aux Alex. Si les défauts du titre venaient à être effacé correctement, alors je ne saurai sans doute que trop conseiller de jouer au à Interactive Paradise : Life zone. Mais dans l’état actuel des choses, ce n’est encore qu’un jeu ayant trop d’imperfections, de points noirs, mais qui pourra peut-être cependant vous distraire.
3/5
Life Zone
Je vais donc m'essayer à IP, premier du nom (le second étant déjà en programmation), jeu découpé sous forme de chapitre et se voulant placé sous le signe de l'humour. Place, donc, au test du projet de Link128.
Scénario : Le scénario débute assez étrangement. Vous êtes Gabriel et vous disputez avec un ami, Carl, au sujet de la place où il vous demande de vous tenir. Vous allez ensuite, sans jamais apprendre pourquoi dans la suite du jeu, vous retrouvez dans un univers étrange où se trouve un cristal qui, à son tour, vous enverra on ne sait où, quelque part où vous trouverez Jonathan, un ami, arrivé on ne sait comment… Enfin, dans les premiers chapitre, on ne fait qu’avancer, en changeant de monde régulièrement, sans rien savoir de quoi que ce soit. Ca s’améliorera par la suite vers le moment où YF06 rejoindra l’équipe puis, plus particulièrement, vers la fin. Cela dit, ça reste assez secondaire et un peu sans queue ni tête par moments.
2/5
Mise en scène : Il n’y en a pas vraiment. Vous aurez droit à des images (fixes), à quelques animations sympathiques, à une gestion correct des bruitages, si l’on veut chercher dans les détails. Mais à part ça, la mise en scène est absente ou du moins ne saurait pas se faire sentir parmi les innombrables combats qui, eux-mêmes, ne disposent pas de mise en scène. On pourrait mettre les insultes dans la mise en scène. Les mots grossiers, parfois, servent à rendre une fiction sur notre monde plus crédible mais là… ils sont trop fréquents. Ca peut paraître incroyable mais il m’arrive de passer une journée entière sans entendre d’invective. Au contraire, dans Interactive Paradise, vous en lirez toutes les 5 minutes.
2/5
Les personnages : Il y a les 4 héros, tous amis, Carl, Gabriel, Jonathan et YF06. Le premier est un parfait imbécile. Il est amusant grâce à cela… et parfois agaçant aussi. On notera en revanche que c’est le seul des héros qui sorte un peu du lot par sa façon d’agir. Un peu lâche sur les bords, stupide mais pas méchant, il met un peu de relief dans le jeu. Le second est le premier des héros que vous manipulerez. C’est peut-être aussi le plus présent, notamment avec sa capacité (inexpliquée) à voir l’avenir. Il n’a pas de traits de caractère particulier, cependant, et c’est ce qu’on peut regretter. Jonathan est, au contraire, peut-être celui qui apparaît le moins durant le jeu. YF06, ensuite (chef de mon groupe de juré que je salue au passage, lol), n’est pas mal géré. Mais, encore une fois, dur de lui définir un caractère. Vient ensuite, au chapitre 9, Germain, alias « ? ? ? ». C’est un homme rencontré dans le futur. Ah, j’y pense, toutes les personnes citées ci-dessus à part la première sont gentils (rendant service à tout le monde) et courageux (n’hésitant pas à sauver leur monde). C’est assez dommage, car, au final, on s’attache un peu à eux et l’on se dit que s’ils étaient très structurés, ce ne serait sans doute pas si mal.
En outre des personnages jouables, il y a une grande quantité de personnages secondaires. Les premiers sont des villageois pathétiques et inintéressant mais ça évolue assez au cours du jeu. A partir du chapitre 5, ils seront un peu moins classiques, un peu plus intéressants, notamment grâce à la possibilité de voir le futur. Viennent ensuite, à partir du chapitre 10, une tripotée de makers divers et variés, qu’ils passent pour boulets ou non. Ils donnent l’occasion de quelques scènes et dialogues intéressants. Aussi, la façon dont c’est mené rajoute aux couleurs, au délire.
3/5
Gameplay : Durant les 4 premiers chapitres, ce ne sera qu’une terrible suite de combats. Vous tapoterez enter ou finirez par choisir le mode automatique (ce que j’ai moi-même fait, pour la seconde fois seulement dans un jeu). Pour les boss, il en est de même… de toutes façons, vous devriez les tuer avant qu’ils ne puissent attaquer, fusse même celui de la fin, grâce à vos dragon swords, triple-attaque, 300 dégâts. Cela mis de côté, il y a un gameplay assez riche dans Life Zone. Vous aurez droit à des phases d’A-RPG, à une partie à la Castlevania, à une partie à deux héros séparément (pour le déplacement), à une partie à deux héros simultanément (déplacement toujours, sous forme de « puzzles ») etc… On regrettera la linéarité des maps d’A-RPG, l’absence de saut dans la phase Castlevania, le peu de temps que dure le déplacement à deux simultané (le temps d’activer deux interrupteurs et de suivre un couloir) et l’aspect répétitif des maps puzzle. Il y a de l’idée, de la variété, une bonne intégration de ces phases mais elles ne semblent pas à la hauteur de ce qu’elles pourraient valoir.
3/5
Musiques : Un des bons points du jeu, je pense. Elles collent (en général) à la situation et sont assez variés même si peut-être connues de vous puisque venant de FF6, de DQ, de Zelda et d’autres titres… d’assez bonne réputation. Cela permet d’ailleurs d’avoir une bande sonore de très grande qualité. Vous aurez d’ailleurs l’occasion de passer votre temps à l’écouter durant les passages un peu longs du début du jeu. En revanche, pas de musiques originales si l’on ne compte pas un séances de chants dans le métro. De même, l’utilisation des bruitages aurait put être affinée car elle est encore très discrète.
3/5
Graphismes : Si certaines maps (chez YF06 ou la mappemonde du futur par exemple) sont assez belles, elles sont rare. Le reste est vide ou répétitif (sans parler des RTP du début). Le mapping est donc inégale voir bâclé. Sinon, les charsets sont plutôt pas mal pour la plupart et les monstres, rippés le plus souvent, ne viennent pas de n’importe quels titres. Mais cela ne rattrape pas vraiment la chose.
2/5
Programmation : Bien que les systèmes de jeu soient divers et variés, je n’ai remarqué aucun custom (que ce soit des menus, des dialogues, des combats ou autres). On note cependant quelques évènements assez sympathiques. Aussi, je n’ai pas relevé de bugs autres que graphiques, si ce n’est lors du combat contre le robot. En effet, après avoir tiré je-ne-sais-plus-combien-de-coups, le robot s’obstinait à survivre. Ce n’est qu’en sauvegardant et en chargeant à nouveau le jeu que, miracle, il est mort avant que je n’ai eu le temps de le voir.
4/5
Originalité : Sans doute le point fort de ce jeu à mon avis. Je l’ai déjà dit, le gameplay est très varié, proposant une nouvelle tous les un ou deux chapitres. Les chapitres proposent d’ailleurs une forme assez originale pour le jeu puisqu’ils sont bien plus courts que ceux que l’on peut avoir l’habitude de croiser. Aussi, le côté délirant du jeu, l’apparition de makers, l’utilisation de notre monde etc. sont des petits plus (de plus en plus courants mais pas dans un même jeu). Enfin, bref, c’est un projet original par la forme et le fond.
Je trouve juste dommage qu’IP ne se soit pas avéré une véritable parodie des Final comme l’aurait laissé supposé le titre de son premier chapitre… mais d’ailleurs, quand on le voit, ce chapitre, on se dit que ce n’est pas plus mal ’
4/5
Humour : IP étant clairement un projet délirant, il devrait disposer d’un humour intéressant… mais on sourit juste, malheureusement. L’humour est assez présent, tout au long de la partie, mais je ne l’ai pas trouvé vraiment particulier. Certains gags sont assez moyens : le chant dans le métro, par exemple, vous l’écouterez une fois, deux fois, trois fois… et vous couperez le son pour éviter les sept suivantes. En outre, les insultes gâtent un peu l’humour. Il y a cependant des passages réellement amusants même s’ils auraient put facilement l’être davantage. A titre d’exemple, comme vous passerez plus d’une demi-heure à vouloir répondre correctement durant le jugement, apprendre qu’il faut faire l’imbécile en vérifiant ça avec RPG maker, ça dérange un peu. Il aurait pourtant suffit qu’on signale quelque part que : « C’est le but puisque les preuves sont bien là alors autant tenter de plaider la stupidité de Carl. »
3/5
Mini-jeux: Au niveau des mini-jeux, l'auteur lui-même n'a mis que deux boss, celui de fin et le robot. Le premier consiste juste à se frayer un chemin à travers un passage avec deux piques puis à taper le boss. Ca aurait put être bien mieux, si le plafond s'écroulait, si des monstres arrivaient, si le boss attaquait, si... mais non, c'est terriblement plat. Quand au second mini jeu, le bug dont j'ai parlé m'a un peu gaché la chose mais j'en reconnais l'originalité. Domamge qu'il n'y ai pas, une fois encore, des évènements plus variés. Autrement dit, un gros potentiel à ces mini-jeux, un potentiel mal exploité, aussi.
2/5
Meilleur système d’A-RPG : Le système d’A-RPG à l’épée est très simple, on ne dispose de presque aucun objet, on se dit qu’un CMS n’aurait peut-être pas été de refus. Cela dit, cette séquence ne s’avère pas désagréable et se joue assez bien. Pour le système à la Castlevania, disposer de plusieurs armes, pouvoir sauter et d’autres fonctions du même auraient put faire joli. Autrement dit, ce n’est pas spécialement fouillé mais bien fichu quand même. Cela, c’est compréhensible, puisque ce ne sont que des systèmes secondaires.
3/5
Au final : Au final, c’est un jeu assez bancale qu’Interative Paradise. Le mapping est irrégulier, le scénario souvent oublié, l’humour perfectible… il y a toujours de bons points, dans chacune des catégories mais il ne se maintient pas. Par ailleurs, on se demande pourquoi l’auteur du jeu a conservé les premiers chapitres (créés avant que le jeu ne soit repris si je ne m’abuse). Ils ne sont pas à la hauteur du reste et, notés seuls, friseraient peut-être la note la plus basse. Mais cela montre cependant que Link128 s’est assez largement amélioré d’un bout à l’autre de son jeu. Je dirais qu’en définitive, c’est surtout l’originalité d’IP et sa diversité qui l’empêche de passer du côté obscur des notes (en dessous de la moyenne d’addition de toutes les notes).
Je crois cependant qu’un peu d’application dans les points cités ci-dessus pourrait permettre à Interactive Paradise d’être plus qu’un « jeu distrayant » grâce à ses qualités déjà présente. D’ailleurs, je ne saurai que trop conseillé à l’auteur de voir s’il ne veut pas reprendre ce projet et l’améliorer (notamment refaire entièrement le début) plutôt que de se lancer dans un nombre incalculable de suite (j’ai entendu parler de sept épisodes ou quelque chose dans ces eaux là). Il pourra d’ailleurs le faire en se basant sur ce test et les autres tests qu’il recevra grâce aux Alex. Si les défauts du titre venaient à être effacé correctement, alors je ne saurai sans doute que trop conseiller de jouer au à Interactive Paradise : Life zone. Mais dans l’état actuel des choses, ce n’est encore qu’un jeu ayant trop d’imperfections, de points noirs, mais qui pourra peut-être cependant vous distraire.
3/5
Quelle note donneriez-vous à ce test ?
Ce test est-il bien rédigé, compréhensible, complet, respectueux ?
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