Test :
1 RPG Sans Nom - Episode 5
1 RPG Sans Nom - Episode 5
Par Diamonds
1RPG sans nom – Episode 5 de Hypnodisc & Chaos64
Test de Diamonds.
Allez, on commence avec le test de 1RPG sans nom, 5ème de son état. Précisons au passage que ses quatre prédécesseurs me sont inconnus.
Awards Principaux :
- Meilleur Graphismes 1/5:
Pas vraiment l’un des atouts du titre. L’ensemble des graphismes n’ont rien d’incroyablement alléchant, les extérieurs sont vastes mais vides et l’ensemble reste répétitif. On note cependant des intérieurs parfois sympathiques et certaines expressions faciales, notamment chez le grand po fin, font sourire. Des lieux comme celui du procès ou des personnages comme le juge ou l’explorateur rompent la cohérence graphique du tout. Dommage.
- Meilleur Gameplay 2/5 :
Certaines idées sont bonnes et apportent une diversité rafraichissante à l’ensemble, comme les passages routiers ou le jet de tomate, mais ne sont pas exploitées au paroxysme. On se retrouve rapidement à n’appuyer que sur une touche (shift ou espace, selon les cas) et à se diriger. C’est simple, j’ai fait une bonne partie du test avec une seule main. Ce qui nous amène à la difficulté du titre. Cette dernière est inexistante, et on comprend rapidement qu’il suffit d’utiliser hypnodisc pour les attaques groupées et chaos pour les boss pour remporter la partie. Les quatre objets du jeu arrivent rapidement au nombre de 99 dans l’inventaire et on ne regarde même pas le niveau de ses personnages, qui augmente à chaque affrontement. On note enfin que, lors de la scène routière où grand po fin tente d’écraser 60 cibles, seul le capot avant est pris en compte. Comme quoi, il est apparemment impossible de tuer quelqu’un avec le flanc d’une voiture.
- Meilleure Bande-son 2/5 :
L’ensemble des mélodies sont connus de la majorité, et on se retrouve à sourire face à telle ou telle référence. La plupart sont utilisées à des moments propices et agréables à l’écoute. On note cependant un manque de transition, à certains moments, qui peut frapper et des passages rocks, comme l’introduction ou la scène du concours amateur, étant très sympathique pendant 70% du temps, puis devenant lassantes pour les 30% restants.
- Meilleur scénario 1/5 :
N’ayant pas testé les épisodes précédents, me voilà mal en point ! Concernant l’histoire propre à ce 5ème épisode, on remarque un enchaînement d’action invraisemblable et des situations absurdes à souhait. Si cela contribue à l’humour du titre, les lignes principales restent basiques et laissent parfois agar. Gros po fin se fait arrêter, ayant échoué au milieu d’un groupe de drogués alors qu’il voulait acheter un jeu Pokémon. Ses deux amis vont le chercher, pendant qu’Alex est condamné à faire la vaisselle. Une trame concise qui initie une chaîne de scénettes, dont certaines marquent des tournants contradictoires dans le peu de psychologie dont font preuve les personnages. On prendra par exemple un Chaos dans le genre kikoo, voulant être avec ses amis, et partant ainsi tout logiquement chercher son compagnon disparu… Jusqu’à trouver un concours de musicien amateur ! Alors là, c’est sûr, entre la guitare et l’amitié…
Awards Secondaires 2/5 :
- Humour 3/5 :
Ce pour quoi le jeu a été fait. Généralement dans le domaine de l’humour absurde, on se retrouve à sourire face à des situations s’enchaînant avec vivacité. Parfois de manière très simples, comme une expression faciale ou un ensemble de répliques, les procédés employés peuvent être plus évolués par moment, comme une gestuelle, voire un ensemble associant musique, dire et fait. Mention spéciale à la proclamation de la sentence d’Alex ! On regrettera cependant un humour lourd pour certaines scènes, et répétitif dans ses fondements. Le pipi caca et le meurtre comique passe ainsi bien au début, mais peuvent lasser à certains moments, lors de la progression du titre. L’ensemble gagnerait donc à se diversifier.
- Originalité 1/5 :
Il est plaisant de voir des actions se dérouler dans un cadre contemporain et certaines scènes marquent des tournants dans les classiques (le fameux savon sous la douche d’une prison). On regrette cependant des actions redondantes et des stéréotypes devenus habituels dans le domaine de l’absurde.
- Non RPG X/5 :
Le titre est hors course pour cette catégorie.
- Meilleure durée de vie 0/5 :
Un jeu court et rapidement achevable. Concernant sa rejouabilité, on hésitera à le faire pendant un moment plutôt long, avant d’éventuellement se tenter une intégrale.
- Personnages 2/5 :
Les personnages se partagent des traits psychologiques désormais habituels dans le monde de l’humour absurde. On y retrouve des antihéros auquel on pourra éventuellement s’attacher, mais sans plus. Le tout gagnerait à être développé et à jouer plus souvent sur ces tableaux.
- Meilleure mise en scène 2/5 :
On se retrouve davantage avec un film interactif qu’avec un jeu à proprement parler. En découle une quantité de scène faisant la majorité de la « durée de vie » du titre. L’ensemble s’enchaîne rapidement, avec plus ou moins de fluidité selon les cas, le tout saupoudré de répliques faisant parfois sourire. On regrettera cependant des scènes parfois trop longues ou lourdes, voire les deux. La redondance marque également certains moments du titre.
- Meilleur Art (Artwork) X/5 :
Le titre est hors course dans cette catégorie.
- Meilleure immersion X/5 :
Le titre est hors course dans cette catégorie.
- Thème des Alex's X/5 :
Le titre est hors course dans cette catégorie.
Conclusion 2/5 :
Un jeu qui pourra plaire pendant quelques instants, avant de passer à autre chose. On passe des bons moments, on sourit, on oublie l’heure. On finit cependant par se lasser lors des dernières scénettes, et on apprécie alors la brièveté du titre.
Test de Diamonds.
Allez, on commence avec le test de 1RPG sans nom, 5ème de son état. Précisons au passage que ses quatre prédécesseurs me sont inconnus.
Awards Principaux :
- Meilleur Graphismes 1/5:
Pas vraiment l’un des atouts du titre. L’ensemble des graphismes n’ont rien d’incroyablement alléchant, les extérieurs sont vastes mais vides et l’ensemble reste répétitif. On note cependant des intérieurs parfois sympathiques et certaines expressions faciales, notamment chez le grand po fin, font sourire. Des lieux comme celui du procès ou des personnages comme le juge ou l’explorateur rompent la cohérence graphique du tout. Dommage.
- Meilleur Gameplay 2/5 :
Certaines idées sont bonnes et apportent une diversité rafraichissante à l’ensemble, comme les passages routiers ou le jet de tomate, mais ne sont pas exploitées au paroxysme. On se retrouve rapidement à n’appuyer que sur une touche (shift ou espace, selon les cas) et à se diriger. C’est simple, j’ai fait une bonne partie du test avec une seule main. Ce qui nous amène à la difficulté du titre. Cette dernière est inexistante, et on comprend rapidement qu’il suffit d’utiliser hypnodisc pour les attaques groupées et chaos pour les boss pour remporter la partie. Les quatre objets du jeu arrivent rapidement au nombre de 99 dans l’inventaire et on ne regarde même pas le niveau de ses personnages, qui augmente à chaque affrontement. On note enfin que, lors de la scène routière où grand po fin tente d’écraser 60 cibles, seul le capot avant est pris en compte. Comme quoi, il est apparemment impossible de tuer quelqu’un avec le flanc d’une voiture.
- Meilleure Bande-son 2/5 :
L’ensemble des mélodies sont connus de la majorité, et on se retrouve à sourire face à telle ou telle référence. La plupart sont utilisées à des moments propices et agréables à l’écoute. On note cependant un manque de transition, à certains moments, qui peut frapper et des passages rocks, comme l’introduction ou la scène du concours amateur, étant très sympathique pendant 70% du temps, puis devenant lassantes pour les 30% restants.
- Meilleur scénario 1/5 :
N’ayant pas testé les épisodes précédents, me voilà mal en point ! Concernant l’histoire propre à ce 5ème épisode, on remarque un enchaînement d’action invraisemblable et des situations absurdes à souhait. Si cela contribue à l’humour du titre, les lignes principales restent basiques et laissent parfois agar. Gros po fin se fait arrêter, ayant échoué au milieu d’un groupe de drogués alors qu’il voulait acheter un jeu Pokémon. Ses deux amis vont le chercher, pendant qu’Alex est condamné à faire la vaisselle. Une trame concise qui initie une chaîne de scénettes, dont certaines marquent des tournants contradictoires dans le peu de psychologie dont font preuve les personnages. On prendra par exemple un Chaos dans le genre kikoo, voulant être avec ses amis, et partant ainsi tout logiquement chercher son compagnon disparu… Jusqu’à trouver un concours de musicien amateur ! Alors là, c’est sûr, entre la guitare et l’amitié…
Awards Secondaires 2/5 :
- Humour 3/5 :
Ce pour quoi le jeu a été fait. Généralement dans le domaine de l’humour absurde, on se retrouve à sourire face à des situations s’enchaînant avec vivacité. Parfois de manière très simples, comme une expression faciale ou un ensemble de répliques, les procédés employés peuvent être plus évolués par moment, comme une gestuelle, voire un ensemble associant musique, dire et fait. Mention spéciale à la proclamation de la sentence d’Alex ! On regrettera cependant un humour lourd pour certaines scènes, et répétitif dans ses fondements. Le pipi caca et le meurtre comique passe ainsi bien au début, mais peuvent lasser à certains moments, lors de la progression du titre. L’ensemble gagnerait donc à se diversifier.
- Originalité 1/5 :
Il est plaisant de voir des actions se dérouler dans un cadre contemporain et certaines scènes marquent des tournants dans les classiques (le fameux savon sous la douche d’une prison). On regrette cependant des actions redondantes et des stéréotypes devenus habituels dans le domaine de l’absurde.
- Non RPG X/5 :
Le titre est hors course pour cette catégorie.
- Meilleure durée de vie 0/5 :
Un jeu court et rapidement achevable. Concernant sa rejouabilité, on hésitera à le faire pendant un moment plutôt long, avant d’éventuellement se tenter une intégrale.
- Personnages 2/5 :
Les personnages se partagent des traits psychologiques désormais habituels dans le monde de l’humour absurde. On y retrouve des antihéros auquel on pourra éventuellement s’attacher, mais sans plus. Le tout gagnerait à être développé et à jouer plus souvent sur ces tableaux.
- Meilleure mise en scène 2/5 :
On se retrouve davantage avec un film interactif qu’avec un jeu à proprement parler. En découle une quantité de scène faisant la majorité de la « durée de vie » du titre. L’ensemble s’enchaîne rapidement, avec plus ou moins de fluidité selon les cas, le tout saupoudré de répliques faisant parfois sourire. On regrettera cependant des scènes parfois trop longues ou lourdes, voire les deux. La redondance marque également certains moments du titre.
- Meilleur Art (Artwork) X/5 :
Le titre est hors course dans cette catégorie.
- Meilleure immersion X/5 :
Le titre est hors course dans cette catégorie.
- Thème des Alex's X/5 :
Le titre est hors course dans cette catégorie.
Conclusion 2/5 :
Un jeu qui pourra plaire pendant quelques instants, avant de passer à autre chose. On passe des bons moments, on sourit, on oublie l’heure. On finit cependant par se lasser lors des dernières scénettes, et on apprécie alors la brièveté du titre.
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