Test :
Geant Vert : L'intégrale
Geant Vert : L'intégrale
Par Diamonds
Le Géant vert, l’intégrale de KP
Test de Diamonds.
Il y a des moments où on s’interroge franchement. Est-ce que je vois ce titre de cette manière, d’une autre ? Alors oui, bien sûr, on étale son avis d’une façon ou d’une autre, mais tout de même, c’est un vrai petit casse-tête que de noter l’intégrale du Géant Vert. Autant que c’est un plaisir de le visionner, en fait…
Awards Principaux :
- Meilleur Graphismes 3/5 :
C’est sympa, oui, il faut le dire. On se fait happer dès l’écran titre dans un style propre au titre et on en ressort qu’à partir du moment où l’application est quittée (sauf pour l’épisode C qui détruit cette idée d’unité graphique totale, mais bon, il est optionnel). Au final, on se retrouve dans un monde qui n’est pas sans rappeler les Tex Avery et autres cartoons. C’est frais, ça fait du bien. Certaines illustrations gagneraient cependant à être retouchées, voire refaites, pour gagner en fluidité ou éviter quelques picotements aux coins des yeux.
On salue l’effort effectué.
- Meilleur Gameplay X/5 :
Lorsqu’on sait qu’on ne prend le clavier que pour quelques secondes sur la totalité du titre, parler de gameplay devient difficile. Plus film que jeu, Le Géant vert n’est pas éligible dans cette catégorie.
- Meilleure Bande-son 4/5 :
Quasiment tout colle parfaitement, c’est aussi simple que ça. On se retrouve alors à penser à tel ou tel classique des mondes musicaux ou cinématographiques. Une belle réussite qui immerge sans soucis majeur. Certains passages gagneraient cependant à être plus fluides : il arrive qu’une transition ou deux entre différentes musiques soit frappante, ce qui entache le plaisir qu’offre le titre.
- Meilleur scénario 1.5/5 :
On trouve le fil conducteur assez vite. On suit le tout avec plaisir, et on découvre une situation complexe, qui associe un paquet de petites scènes en parallèle, où sont reconnaissables des scénettes classiques du cinéma. Cependant, à partir du moment où un bug survient, dans le second épisode, l’ensemble s’enchaîne à une vitesse de plus en plus effrénée, sans forcément offrir toutes les informations nécessaires à une compréhension aisée. Passant de temps à autre du coq à l’âne dans des scènes plutôt rapides, on est parfois largué et c’est bien dommage.
Awards Secondaires 2/5 :
- Humour 3.5/5 :
J’ai été pris de quelques ricanements nerveux à deux reprises et des sourires m’ont été arrachés. Au-delà du gras présent en surface, certaines références habilement menées, la mise en scène adroite et l’ironie de plusieurs situations savent changer les idées. Il aurait pu être intéressant de déprivatiser certaines blagues, mais bon, ce sont les intentions de l’auteur qui veulent ça.
- Originalité 2/5 :
On se laisse surprendre à plusieurs reprises au cours de cette histoire qui sait utiliser l’humour de l’absurde de manière plaisante. Rien de révolutionnaire mais plutôt des pics de fraîcheur qui savent faire leur effet.
- Non RPG 2.5/5 :
On ne peut pas parler à proprement parler de jeu, alors de RPG… Le tout est plaisant et fait passer un bon moment, mais il aurait été intéressant de renforcer l’interaction entre le spectateur et le titre.
- Meilleure durée de vie 1/5 :
On compte environ une heure pour l’ensemble des épisodes. En voyant le titre comme un film, on atteint presque la durée standard. Cependant, Le Géant vert étant une suite de chapitres, force est de constater que chacun d’entre eux est très court.
- Personnages 1/5 :
On trouve ici une fusion entre des rôles classiques du cinéma et des personnalités du making. Ainsi, pour qui connaît les sites mentionnés devient possible une comparaison entre rôle et personnage, ce qui n’est pas sans produire son effet. Cependant, dans le cadre du test d’un titre étant sensé se suffire à lui-même, le tout devient plutôt maigre. On aimerait notamment une petite présentation de chaque personnage, nous permettant de comprendre les quelques liens de début de jeu, ou les traits de caractère principaux de chacun.
- Meilleure mise en scène 4.5/5 :
Certaines scènes sont plutôt confuses ou brouillonnes, mais elles ne représentent qu’une minorité face à l’habileté de l’ensemble. Un effort qui a du être aussi grand que le plaisir qu’il nous procure !
- Meilleur Art (Artwork) 1.5/5 :
L’unité de l’ensemble permet de faire passer le ton général du titre, et ainsi d’accepter davantage le style un peu cartoon à la paint qui nous est proposé. Des images parfois brouillonnes ou piquant les yeux entachent cependant le tout.
- Meilleure immersion X/5 :
Ce titre n’entre pas dans cette catégorie.
- Thème des Alex's X/5 :
Ce titre n’entre pas dans cette catégorie.
Conclusion 2.75/5 :
Il est plutôt difficile de commenter et noter le Géant vert dans le cadre de ce concours. Cependant, s’il est ardu de juger de l’accessibilité de ce titre à un public plus ou moins large, il n’en reste pas moins que ce fut une expérience sympathique, rafraîchissante et drôle.
Test de Diamonds.
Il y a des moments où on s’interroge franchement. Est-ce que je vois ce titre de cette manière, d’une autre ? Alors oui, bien sûr, on étale son avis d’une façon ou d’une autre, mais tout de même, c’est un vrai petit casse-tête que de noter l’intégrale du Géant Vert. Autant que c’est un plaisir de le visionner, en fait…
Awards Principaux :
- Meilleur Graphismes 3/5 :
C’est sympa, oui, il faut le dire. On se fait happer dès l’écran titre dans un style propre au titre et on en ressort qu’à partir du moment où l’application est quittée (sauf pour l’épisode C qui détruit cette idée d’unité graphique totale, mais bon, il est optionnel). Au final, on se retrouve dans un monde qui n’est pas sans rappeler les Tex Avery et autres cartoons. C’est frais, ça fait du bien. Certaines illustrations gagneraient cependant à être retouchées, voire refaites, pour gagner en fluidité ou éviter quelques picotements aux coins des yeux.
On salue l’effort effectué.
- Meilleur Gameplay X/5 :
Lorsqu’on sait qu’on ne prend le clavier que pour quelques secondes sur la totalité du titre, parler de gameplay devient difficile. Plus film que jeu, Le Géant vert n’est pas éligible dans cette catégorie.
- Meilleure Bande-son 4/5 :
Quasiment tout colle parfaitement, c’est aussi simple que ça. On se retrouve alors à penser à tel ou tel classique des mondes musicaux ou cinématographiques. Une belle réussite qui immerge sans soucis majeur. Certains passages gagneraient cependant à être plus fluides : il arrive qu’une transition ou deux entre différentes musiques soit frappante, ce qui entache le plaisir qu’offre le titre.
- Meilleur scénario 1.5/5 :
On trouve le fil conducteur assez vite. On suit le tout avec plaisir, et on découvre une situation complexe, qui associe un paquet de petites scènes en parallèle, où sont reconnaissables des scénettes classiques du cinéma. Cependant, à partir du moment où un bug survient, dans le second épisode, l’ensemble s’enchaîne à une vitesse de plus en plus effrénée, sans forcément offrir toutes les informations nécessaires à une compréhension aisée. Passant de temps à autre du coq à l’âne dans des scènes plutôt rapides, on est parfois largué et c’est bien dommage.
Awards Secondaires 2/5 :
- Humour 3.5/5 :
J’ai été pris de quelques ricanements nerveux à deux reprises et des sourires m’ont été arrachés. Au-delà du gras présent en surface, certaines références habilement menées, la mise en scène adroite et l’ironie de plusieurs situations savent changer les idées. Il aurait pu être intéressant de déprivatiser certaines blagues, mais bon, ce sont les intentions de l’auteur qui veulent ça.
- Originalité 2/5 :
On se laisse surprendre à plusieurs reprises au cours de cette histoire qui sait utiliser l’humour de l’absurde de manière plaisante. Rien de révolutionnaire mais plutôt des pics de fraîcheur qui savent faire leur effet.
- Non RPG 2.5/5 :
On ne peut pas parler à proprement parler de jeu, alors de RPG… Le tout est plaisant et fait passer un bon moment, mais il aurait été intéressant de renforcer l’interaction entre le spectateur et le titre.
- Meilleure durée de vie 1/5 :
On compte environ une heure pour l’ensemble des épisodes. En voyant le titre comme un film, on atteint presque la durée standard. Cependant, Le Géant vert étant une suite de chapitres, force est de constater que chacun d’entre eux est très court.
- Personnages 1/5 :
On trouve ici une fusion entre des rôles classiques du cinéma et des personnalités du making. Ainsi, pour qui connaît les sites mentionnés devient possible une comparaison entre rôle et personnage, ce qui n’est pas sans produire son effet. Cependant, dans le cadre du test d’un titre étant sensé se suffire à lui-même, le tout devient plutôt maigre. On aimerait notamment une petite présentation de chaque personnage, nous permettant de comprendre les quelques liens de début de jeu, ou les traits de caractère principaux de chacun.
- Meilleure mise en scène 4.5/5 :
Certaines scènes sont plutôt confuses ou brouillonnes, mais elles ne représentent qu’une minorité face à l’habileté de l’ensemble. Un effort qui a du être aussi grand que le plaisir qu’il nous procure !
- Meilleur Art (Artwork) 1.5/5 :
L’unité de l’ensemble permet de faire passer le ton général du titre, et ainsi d’accepter davantage le style un peu cartoon à la paint qui nous est proposé. Des images parfois brouillonnes ou piquant les yeux entachent cependant le tout.
- Meilleure immersion X/5 :
Ce titre n’entre pas dans cette catégorie.
- Thème des Alex's X/5 :
Ce titre n’entre pas dans cette catégorie.
Conclusion 2.75/5 :
Il est plutôt difficile de commenter et noter le Géant vert dans le cadre de ce concours. Cependant, s’il est ardu de juger de l’accessibilité de ce titre à un public plus ou moins large, il n’en reste pas moins que ce fut une expérience sympathique, rafraîchissante et drôle.
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